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TUER L'INJUSTICE

24 mai 2010

PALAIS D'INJUSTICE.

Introduction.

Une injustice faite à un seul être, est une menace pour tous !

Accusé à tort par mon ex-épouse, j'ai subi la violence de la justice rendue par mon pays, la France.

Altération de preuves, menaces, injures et manipulations se sont tenues la main.

Certains magistrats usurpèrent titre et compétences pour motiver mon incarcération, d'autres formulèrent de fausses affirmations.

Le vertige psychologique fut la voisine de ma détresse carcérale. Mais je vis...

http://www.edilivre.com/doc/18707

Ces faits ce sont déroulés dans l'Ain, allant des brigades de gendarmerie, aux magistrats exerçant au parquet de Bourg en Bresse. Cela s'est passé en France, en 2005.

On agissait ainsi, dans les années 70, en Argentine.

Tous les faits sont couverts par des documents officiels.

Monsieur Jean François Coppé vient de prendre ma doléance en considération et se dit prêt à une réflexion plus profonde sur le système judiciaire français.

Historique.

Au cours d'un divorce très conflictuel, je fus accusé par mon ex-épouse d'agressions sexuelles sur nos enfants.

Celle-ci profita d'un téléchargement accidentel portant sur un fichier contenant des images pédo-pornographiques, pour m'accuser en mettant, comme partie-civile, mes enfants âgés de deux ans !!!

Je bénéficiais par la suite d'une ordonnance de non-lieu concernant les faits d'agressions sexuelles, confirmée une seconde fois en appel.

Je fus néanmoins condamné pour l'importation involontaire de ce fichier, car le seul fait de détenir dans le disque dur de telles images, constitue un délit. Tenant compte de ma bonne foi, j'ai bénéficié d'un sursis simple, avec exclusion de la condamnation du bulletin n°2.

Je fûs malgré tout, mis en détention provisoire durant un mois et demi au cours de l'instruction.

Après ma libération, en mai 2005, je décide d'écrire le livre qui me vaut aujourd'hui les foudres de cette "justice".

Je dénonce dans mon livre ( Palais d'injustice ) les conditions de garde à vue (menaces, insultes, abus de pouvoir, altération des éléments à charge),  l'attitude de certains magistrats, (usurpation de compétences et de titre pour justifier ma mise en détention provisoire, formulation de faits inexistants sur des ordonnances officielles) et enfin, les conditions de détention qui relèguent la France au rang de pays sous-developpé.

Fin décembre 2008, je me trouve dans une situation particulièrement affreuse. Je décide de dénoncer la personne avec qui je vis, pour actes de violence sur l'un des enfants dont elle a la garde en qualité d'assistante maternelle.

Je suis menacé de représailles physiques par les membres de sa famille, et me retrouve un soir sous la menace d'un couteau en plein milieu d'un parking à Belleville Sur Saône.

Mais, estimant qu'un enfant de trois ans n'a pas à être le souffre-douleur d'un adulte, je mets mes craintes de côté et décide d'alerter les parents du petit, de même que les Gendarmes. Je réunis les preuves matérielles indispensables afin de ne laisser aucun doute quant à la véracité des faits.

Le soir même de cette dénonciation, je suis agressé avec une violence extrême par l'un des membres de la famille de mon ex compagne. Quinze jours d'ITT, fracture du nez, félure de côte, lésions oculaires encore présentes... Je ne reviens plus au domicile, laissant ainsi toutes mes affaires personnelles entre les mains de ceux qui sont devenus mes pires ennemis. Et je perds la présence quotidienne de ma fille, âgée de deux ans.

Je dépose plainte pour cette agression, certificats médicaux à l'appui. Résultat ? L'agresseur est simplement convoqué devant un médiateur, pour recevoir une leçon de morale et l'affaire en reste là. Ceci est le premier "tour" que me joue le parquet de Bourg en Bresse.

Le second tour ne tarde pas. Je suis convoqué à comparaître en même temps que mon ex compagne pour, tenez-vous bien, " non-assistance en personne en danger ".

Oui, oui... Vous avez bien lu ! Je délivre cet enfant d'un enfer, je mets ma vie en danger pour cela et on me met aux côtés de son bourreau...

En lisant la convocation, je relève quatre vices de procédure et le fais savoir au tribunal par lettre recommandée, dans la mesure ou je n'ai pas pris d'avocat pour cette démarche.

Sur de mon fait, je ne me présente pas à l'audience convaincu de l'annulation pour vices de procédure.

La surprise m'arrive en pleine face alors, sous la forme d'un jugement rendu en mon absence. Le tribunal écarte ma demande d'annulation pour vices de procédure et me condamne à six mois d'emprisonnement délictuel pour non-assistance à personne en danger.

Je viens d'interjeter appel avec l'aide  d'un avocat pénaliste, afin de me défendre en présentant cette fois-ci, tous les éléments devant une cour.

Le troisème tour joué par le parquet de Bourg en Bresse, n'est pas des moindres non plus. Je reçois une ordonnance en provenance du même parquet, classant sans suite deux plaintes que j'ai déposé ; l'une pour menaces de mort et menaces d'actes de barbarie sur ma personne, (faits constitués avec éléments de preuve) et l'autre pour vol et appropriation frauduleuse de toutes mes affaires personnelles.

Malgré l'apport d'éléments de preuve, Madame Tarare, procureure de Bourg en Bresse, décide de classer des faits qui sont tous sanctionnés par le Code de Procédure Pénal et par le Code Pénal.

A cela vient s'ajouter le fait que cela fait plus d'un an que je ne vois pas ma fille. Le juge aux affaires familiales près le parquet de Bourg en Bresse  s'était pourtant engagé à agir rapidement pour qu'un droit de visite et d'hébergement soit mis en place... Cela fera un an au mois de juin de cette année 2010. Edifiant non ???

J'ai écris plus de vingt courriers recommandés à Mme Michelle Alliot Marie afin de lui faire connaître ces faits indignes d'une justice républicaine, sans aucune réponse en retour.

Mais j'épingle au passage la passivité des politiques, soucieux de préserver une image "lisse" et "neutre".

J'ai écrit à nombre de législateurs, mais il me semble qu'ils sont plus soucieux de leur image que des problèmes rencontrés par les citoyens qu'ils représentent...( sic )

Voilà à quoi sert le pouvoir conféré à des individus qui représentent, en leur nom, la Justice d'un pays.

Vous pouvez m'aider, en m'adressant des courriers de soutien et en exprimant votre sentiment.

J'ai besoin de votre parole écrite, afin de présenter également le ressenti des citoyens devant un appareil qui se croit et se veut intouchable.

Adressez vos lettres à l'adresse suivante.

Delano FRERE - Rue Claudius Peillien - 71570 Saint romain des Iles. 

Je compte sur la rapidité de vos envois, car l'affaire est pressante.

Merci pour votre soutien. N'hésitez pas à faire part de vos commentaires sur ce blog et à parler également des problèmes que vous rencontrez avec cette justice qui a de plus en plus d emal à porter son nom.

Delano FRERE.

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TUER L'INJUSTICE
  • Ce blog se veut être le reflêt d'un combat contre le système judiciaire français. Qui n'a pas été confronté aux procédures salies par les abus de pouvoir, aux jugements aveugles et aux injustices sous toutes les formes ? Pour ma part, je mène un combat
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